Des chenilles pour faciliter les déplacements en zone périurbaine
Nicolas Galpin, agriculteur à Auvernaux, dans l’Essonne, a investi en 2018 dans une Lexion 770 avec une coupe de 9,30 m équipée de chenilles. Un choix qui correspondait à ses besoins professionnels car il effectue de nombreux déplacements vers plusieurs sites lors de la moisson, et a fortiori en zone périurbaine.
Nicolas Galpin, agriculteur à Auvernaux, dans l’Essonne, a investi en 2018 dans une Lexion 770 avec une coupe de 9,30 m équipée de chenilles. Un choix qui correspondait à ses besoins professionnels car il effectue de nombreux déplacements vers plusieurs sites lors de la moisson, et a fortiori en zone périurbaine.
![Nicolas Galpin a opté pour des chenilles pour faciliter ses déplacements sur route et en ville, et limiter le tassement des sols.](https://medias.reussir.fr/union-agricole/styles/normal_size/azblob/2024-06/dossier_nicolas_galpin_a_opte_pour_des_chenilles_c_h._ch_horizons_.jpg?itok=uGoY3NL9)
![Le broyage des menues pailles est une autre spécificité de la moissonneuse-batteuse de Nicolas Galpin.](https://medias.reussir.fr/union-agricole/styles/normal_size/azblob/2024-06/dossier_le_broyage_des_menues_pailles_est_une_autre_specificite_de_la_moissonneuse-batteuse_de_nicolas_galpinc_h.ch_horizons.jpg?itok=oFaBsBwd)
![Même si elles ont certains avantages, les chenilles restent coûteuses par rapport aux pneus.](https://medias.reussir.fr/union-agricole/styles/normal_size/azblob/2024-06/dossier_meme_si_elles_ont_certains_avantages_les_chenilles_restent_couteuses_par_rapport_aux_pneusc_h.ch-horizons.jpg?itok=C2EyuWly)
![](https://medias.reussir.fr/union-agricole/styles/normal_size/azblob/2024-06/dossier_moisson_c_jean-charles_gutner.jpg?itok=khaUg3q9)
Les particularités de l’année climatique 2023-2024, marquée par de fortes précipitations qui ont chamboulé les semis, méritent que l’on se penche sur un équipement a priori digne d’intérêt face aux problèmes de portance des sols : les chenilles. « En 2021, année humide qui a entraîné des difficultés lors de la récolte, un de mes voisins m’a contacté pour recourir à ma moissonneuse-batteuse équipée de chenilles », confirme Nicolas Galpin, agriculteur à Auvernaux (Essonne). Mais pour l’exploitant agricole, qui est également prestataire de services pour des travaux de récolte, l’intérêt des chenilles était avant tout de faciliter ses déplacements.
« Je bats environ 600 hectares, répartis sur quatre sites et je dois parfois effectuer plus de deux heures de route entre deux chantiers », précise-t-il.