Exosquelettes : tests avec trois installations de traite
Les exploitations agricoles sont aujourd’hui tentées par l’acquisition d’exosquelettes. Avec l’objectif d’assister la réalisation de certaines tâches pénibles, leur usage fait naître un espoir d’améliorer les conditions de travail grâce à la réduction de la charge physique et des risques de troubles musculosquelettiques (TMS). Leur utilisation pose toutefois de nouvelles questions relatives à la santé et la sécurité des utilisateurs de ces équipements.
Les exploitations agricoles sont aujourd’hui tentées par l’acquisition d’exosquelettes. Avec l’objectif d’assister la réalisation de certaines tâches pénibles, leur usage fait naître un espoir d’améliorer les conditions de travail grâce à la réduction de la charge physique et des risques de troubles musculosquelettiques (TMS). Leur utilisation pose toutefois de nouvelles questions relatives à la santé et la sécurité des utilisateurs de ces équipements.
Chocs de l’Hapo MS contre les tubulaires de la salle de traite chez Arnaud Martinet.
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Réglages effectués par Marie-Pierre Dupont, conseillère prévention de la MSA.
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Le Skelex de Gobio est porté par Arnaud Martinet (50)
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Le Mate-XT de Comau est porté par Alexis Graindorge (61).
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L'Hapo MS d’Ergosanté est porté par Christelle Van Den Bossche.
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Circulation en salle de traite à bien appréhender avec un exosquelette.
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Chocs de l’Hapo MS contre les tubulaires de la salle de traite chez Arnaud Martinet.
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Réglages effectués par Marie-Pierre Dupont, conseillère prévention de la MSA.
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Le Skelex de Gobio est porté par Arnaud Martinet (50)
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Le Mate-XT de Comau est porté par Alexis Graindorge (61).
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