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Samasz KDF 300 : une faucheuse frontale qui séduit

La marque polonaise Samasz, spécialisée dans la fenaison, continue de se développer en France.
Valery Heuland, éleveur dans la Sarthe, utilise depuis deux ans une faucheuse frontale Samasz : la KDF 300.

Éleveur allaitant, Valery Heuland exploite 170 hectares à Cherreau (72). Il effectue une centaine de vêlages et engraisse une soixantaine de génisses croisées. L’exploitation est essentiellement en herbe, en agriculture de conservation des sols et en semis directs. « Je faisais de plus en plus d’hectares et l’année avant d’acheter la frontale, j’avais fauché 400 hectares avec ma faucheuse arrière de 4 mètres », explique-t-il. Faisant partie d’une Cuma, avec un tracteur de 150 CV équipé d’une prise de force avant, l’exploitant a opté pour une faucheuse frontale. Après étude des marques du marché et en prenant en compte les délais, son choix s’est arrêté sur la faucheuse KDF 300 de Samasz.

Qualité de fabrication

La Cuma a profité d’une opportunité avec le concessionnaire Duret pour acheter deux faucheuses frontales Samasz en 3 mètres. Après 1 000 hectares en deux ans, les utilisateurs se disent satisfaits. « Nous sommes à notre première boîte de couteaux. Alors niveau usure, c’est insignifiant ». De même pour les patins et les lamiers Perfect Cut : « Les pièces sont bien faites, même en ayant pris quelques chocs en dessous, on voit bien que c’est costaud ». L’outil est bien pensé avec notamment un système de remplacement rapide des couteaux grâce à une clé spécifique.

Suivi du sol efficace

Avec un débit de chantier compris entre 10 km/h quand il y a de l’épaisseur et en pente, et pas loin de 20 km/h sur des 3e, 4e et 5e coupe, le suivi reste optimal grâce aux ressorts de suspension. « La faucheuse a aussi un bon suivi du sol que ce que nous avons à l’arrière en marque concurrente », note l’éleveur. Niveau puissance de traction, la KDF 300 n’est pas trop gourmande puisque l’éleveur utilise un Lindner de 110 CV pour la faucheuse frontale et une faucheuse arrière de 4 mètres. En la comparant à une faucheuse frontale d’un voisin, qu’il utilise de temps en temps, il a noté que la Samasz était plus légère de 300 kg.

Une marque à l’écoute

Valery Heuland apprécie particulièrement le suivi de la marque et sa réactivité en cas de problème. « Je fais pas mal de portes-graines et il faut qu’on enlève les tapis au maximum pour ne pas abîmer les graines sur la barre de protection ». Pour pallier ce problème, le constructeur étudie actuellement de rehausser le cadre de renfort pour correspondre aux demandes clients. L’agriculteur compte s’équiper prochainement d’une nouvelle faucheuse arrière en papillon ou en grande largeur en latéral de la marque. •
 

 

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